Chers fils et filles de la planète Terre ! JE SUIS SANANDA !
Une fois encore, mon cœur est rempli de joie, non seulement pour vous apporter quelques mots, mais aussi pour vous apporter beaucoup d’amour.
Nous arrivons à la fin de ce cycle. Peu importe que votre calendrier soit correct ou non. Ce que vous vivez est ce qui commande les égrégores de la planète et le cœur des humains. Il n’est donc pas possible de vous dire, en ce moment, de tout oublier et de penser à autre chose.
Tout est dans le temps et au bon moment. L’important est de suivre vos cœurs. Cessez de suivre ce que disent les autres ou ce qu’impose votre société. Agissez toujours selon vos cœurs. Ce sera toujours la meilleure voie. Ne vous laissez pas emporter par le consumérisme. Ne vous laissez pas emporter par les règles.
Considérez les célébrations de la fin de ce cycle comme une excellente occasion d’observer vos environs. Examinez attentivement l’endroit où vous vivez. Qui est autour de vous ? À quoi ressemble l’endroit où vous vivez ? Notez que je ne fais pas de comparaisons. Chacun est là où son âme l’a conduit et où il doit être. Mais regardez autour. Que voyez-vous ?
Voyez-vous beaucoup de nature, peu de nature ou pas du tout ? Voyez-vous beaucoup de maisons, beaucoup de voisins ou rien du tout ? Voyez-vous un ciel clair et dégagé ou seulement un petit morceau de lui ? Que voyez-vous autour de vous ? Alors, je vous dis que ce que vous voyez n’a pas d’importance. La personne qui vit dans un paradis, entourée par la nature, qui a le ciel ouvert autour d’elle, n’est pas meilleure ou supérieure à la personne qui vit entassée. Il n’y a pas de supériorité en cela.
Beaucoup d’entre vous diront peut-être : “Bien sûr qu’il y en a une ! Celui qui est là, avec la nature tout autour de lui, a une vie bien plus confortable que moi, qui suis ici dans cet espace exigu, entouré d’un tas de gens”. Je ne parle pas ici de finances, mais du cœur. La personne qui vit dans cette immense maison, entourée de nature, a-t-elle un cœur ? Pas le cœur physique, qu’elle a, bien sûr, mais est-ce qu’elle entend son cœur ? Et vous qui vous plaignez de cette cabine, entendez-vous le vôtre ? Ou bien, êtes-vous tous deux extrêmement reconnaissants pour tout ce que vous avez reçu, pour tout ce que vous avez ? Ou au contraire, ne vous souvenez-vous pas d’être reconnaissants puisque que rien n’est bon ?
Cela peut varier considérablement d’une personne à l’autre. Alors, je vous dirais qu’aujourd’hui, sur ce chemin, ceux qui ont de bonnes conditions financières sont égaux à ceux qui n’en ont pas, parce que ce n’est pas un poids, ce n’est pas un facteur déterminant, cela ne vous met pas en tête de file, comme beaucoup le pensent. Lorsque vous entrez sur le chemin de l’évolution, vous êtes tous dépouillés de tout ce qui est physique. Vous ne cheminez qu’avec vos cœurs et vos choix. Vous cheminez avec vos pensées et vos actions.
L’énergie de l’argent ne servira à rien, car il n’y aura pas de pots-de-vin, pas de corruption et pas de meilleure place dans la file d’attente. Tous suivent le même chemin, avec les mêmes tâches et les mêmes obstacles. Tous doivent surmonter tous les obstacles sur ce chemin, que l’on soit riche ou pauvre. Peu importe que l’on soit jeune ou vieux. Ce qui compte, c’est le cœur. Ce qui compte, c’est ce que vous ressentez à ce moment-là.
La personne qui possède une grande maison est-elle reconnaissante que son voyage l’ait menée là ? Et vous qui vivez dans ce box, qui vous plaignez, avez-vous déjà été reconnaissant vous aussi ? Au moins, vous avez un endroit où vivre, mais qu’en est-il de ceux qui n’ont rien ? Soyez sûr que votre âme est sans doute trop bornée, comme vous dites, pour apprendre des choses. Si vous continuez à vivre dans le manque, c’est que les leçons n’ont pas été apprises, ou que vous ne voulez pas les apprendre. Et peut-être que celui qui est dans cette grande maison, entouré de nature, a réussi à surmonter tous les obstacles nécessaires, et que l’abondance est tout ce qu’il a.
A-t-il tort ? Non. Avez-vous tort ? Non. Vous n’avez pas tort non plus. Chacun a choisi sa propre voie, chacun a décidé d’apprendre ou non. Ne jugez donc pas ce que vous ne connaissez pas. Si vos parcours sont difficiles, arrêtez-vous et réfléchissez. Pourquoi vous obstinez-vous à ne pas vouloir évoluer ? Pourquoi vous obstinez-vous à répéter les mêmes erreurs ? La personne qui se trouve dans cette belle maison, entourée par la nature, n’est peut-être pas si têtue, elle s’est laissé apprendre, elle s’est laissé évoluer, et l’univers a pourvu à ses besoins.
C’est ainsi que cela fonctionne. C’est le cœur qui commande. Ce sont les pensées, les actions, les évolutions qui sont en charge. Ou peut-être que vous, qui vivez dans cette cabine, devrez vivre dans une cabine pendant longtemps pour apprendre quelque chose. Est-ce bien cela ? Peut-être. Alors, mes fils et mes filles, ce n’est pas le moment de comparer qui a plus et qui a moins. C’est le temps de l’analyse. C’est le moment de regarder à l’intérieur de soi et d’accepter ses erreurs ; d’accepter que l’on fasse encore des erreurs, et beaucoup d’erreurs. Maintenant, il ne s’agit pas de se juger, il ne s’agit pas de se crucifier parce qu’on a fait une erreur, il s’agit de prendre une décision : “Je veux corriger mes erreurs et je ne veux plus les répéter “. C’est parfait. C’est le chemin de vos évolutions et de vos abondances.
Alors, avant de vous asseoir, de vous plaindre, de pleurer, de maudire le fait que vous n’avez rien et que l’autre personne a tout, ne vous comparez pas à quelqu’un d’autre. Chacun est là grâce aux résultats du cheminement de son âme, grâce à ses propres choix. Chacun dans cet univers a sa part d’abondance. Elle n’est pas divisée en parts inégales, alors vous avez la vôtre. Maintenant, vous devez vous assurer que vous l’atteignez, que vous la recevez. Et comment y parvenir ? En étant reconnaissant chaque jour pour chaque leçon, chaque apprentissage, chaque défi.
Il ne s’agit pas de regarder le défi, de s’asseoir et de pleurer. Il s’agit de les surmonter, de les surmonter et d’être sûr que vous avez fait un petit pas vers l’abondance. Regardez autour de vous. Qu’avez-vous construit ? C’est le moment d’analyser, et quoi que vous voyiez, soyez-en reconnaissant, surtout si vous vous rendez compte de ce qui vous a conduit là où vous êtes. Les occasions que vous avez laissé passer, les défis que vous n’avez pas voulu relever, les personnes que vous avez laissées vous dominer, les pensées que vous avez prises des autres, vos désirs que vous avez réprimés.
Réfléchissez-y. Réfléchissez à tout cela. Et apprenez que personne ne peut dominer personne. Ne laissez personne vous retenir. N’utilisez pas les autres comme boucliers pour vos lâchetés. Tous sont capables de se libérer, tous possèdent ce pouvoir. Celui qui se laisse emprisonner fait un choix, car la liberté appartient à l’âme, à chaque être. Et comme nous le disons depuis quelque temps et depuis toujours, demandez notre aide pour vous libérer, pour vous faire voir le chemin, pour vous faire évoluer. Mais soyez prêts, car le chemin, la plupart du temps, n’est pas celui que vous souhaitez. Le chemin n’est pas si facile, il y a des pierres. Mais ce qui est important, c’est qu’à chaque pierre enlevée, le saut est immense.
Sachez donc trouver vos chemins. Regardez chaque pierre avec amour, et soyez sûr de changer tout ce qui vous entoure. Peu importe le temps que cela prendra. Ce qui compte, c’est que vos âmes ont besoin d’évoluer, que ce soit dans cette incarnation ou dans les suivantes. Cela n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est que l’évolution sera toujours le chemin de chaque âme.
Traduction par Helena do Lago Basile
Révision par Ingrid de Rio Campo