Mes chers, JE SUIS L’ARCHANGE MICHAËL !
Avant toute chose, je veux exprimer ma gratitude à tous ceux qui sont ici, en ce moment, tous ceux qui, du fond du cœur, contribuent à cette vague d’amour et de lumière qui envahit la planète Terre.
Ne vous attachez pas aux nombres, car toute énergie émanée, que ce soit par un seul ou par mille, est amplifiée par chacun de nous. Alors, les chiffres ne signifient pas grand-chose : ce qui compte, c’est le cœur de chacun. Car on peut bien avoir des nombres, oui, mais ce qui est émané est-il vrai ? Est-ce de l’Amour, est-ce de la Lumière ?
Malheureusement, je dois vous informer que, parmi ceux qui sont ici maintenant, il y en a qui vibrent autre chose et qui essaient d’utiliser la même Mandala pour émettre et amplifier une énergie qui n’est ni Amour ni Lumière.
Seulement voilà : les Codes de Lumière viennent de la Lumière, et la Lumière ne se laisse pas dominer. Ainsi, même si le Mandala est dans leurs mains, et même si certains tentent d’y faire passer une énergie négative, cela ne servira à rien : ils perdront leur temps. Car il serait pour le moins étrange qu’un Mandala, portant la Trinité de l’Univers et 31 Codes de Lumière de divers êtres, obéisse à des ordres qui ne sont pas de Lumière, qu’il amplifie des énergies qui ne sont pas d’Amour ni de Lumière. Je serais vraiment très inquiet si cela pouvait arriver.
Alors, mon ami, vous perdez votre temps. Allez faire autre chose, allez vous amuser, allez mettre votre énergie ailleurs, car ici cela ne servira à rien. vous cryez que celle qui est ici n’est qu’une femme qui parle ? Non, ce n’est pas le cas ! JE SUIS L’ARCHANGE MICHAËL ! Et ici, mon ami, vous n’avez aucune place. Prenez votre chemin, allez faire ce que vous aimez : pratiquer la violence, pratiquer le non-amour. Allez, car ici vous perdez votre temps. Mais si vous voulez rester, soyez le bienvenu, car vous recevrez toute la Lumière et tout l’Amour qui seront émané par ce groupe qui est ici, dans une pensée bien plus élevée que la vôtre. Restez, et recevez cette Lumière ; peut-être même changerez-vous de chemin. La décision vous appartient, mais votre prétendu pouvoir, ici, sera nul. Vous ne ferez rien.
Et que cela serve de leçon et d’avertissement pour beaucoup qui arrivent de nulle part, sans rien comprendre, et qui émanent des sentiments incompatibles avec ce moment. Ici, il y a de l’Amour, ici, il y a la Lumière, et rien, absolument rien dans cet Univers n’est capable de briser cela, en cet instant où Je suis ici.
Alors que chacun apprenne à suivre son propre chemin. Je ne veux pas de nombres, je veux des cœurs illuminés. Je serais bien plus heureux d’avoir dix personnes ici, avec des cœurs remplis de Lumière et d’Amour, que mille, deux mille, prenant à la légère ce qui est en train de se produire.
Ne croyez pas, mes frères, que tous soient impliqués, car ce n’est pas le cas. Beaucoup pensent que toute cette histoire de transition planétaire, de changement de dimension, d’ascension, est un conte de science-fiction. Ils n’y croient pas, ils se moquent de ceux qui y croient, ils cherchent à perturber tout le processus. Mais la Lumière a toujours été et sera toujours la plus forte. Il n’existe rien ni personne qui puisse éteindre la Lumière. Dieu Père/Mère est unique. Il n’existe aucune autre force qui puisse s’y opposer. Et si quelqu’un le pense, il se trompe, car cela n’existe pas.
Il existe des forces maléfiques, oui, mais pas avec le même pouvoir que Dieu. Il est unique, souverain, inaccessible et inébranlable !
Vous avez déjà accompli un grand travail lundi. Nous ferons un grand travail aujourd’hui encore. Nous ferons un grand travail vendredi prochain. Ne pensez pas que le monde est tout rose, car il ne l’est pas. Il est laid, et les cœurs non illuminés ne ratent pas une occasion de provoquer ceux qui marchent dans la Lumière.
Alors, je dirais à chacun de vous : Attention !
Vous avez été surpris par le message de Sananda, hier ? Pourquoi ? Il n’a dit que des vérités. A-t-il exagéré sur quelque point ? Non. La vérité, pour beaucoup d’entre vous, dérange, blesse. Elle vous fait même douter que c’était Sananda. Pourquoi ? Devons-nous toujours être ceux qui prononcent des paroles douces, qui ne réprimandent jamais, qui sont toujours les idiots de tout le processus ?
Il existe une Loi dans l’Univers : nous ne pouvons pas mentir. Le mensonge est une énergie déplorable, basse, qui atteint toujours négativement ceux qui s’y engagent. Alors, lorsque vous entendez des vérités, cela vous surprend, parce que vous êtes tellement habitués au mensonge du monde que vous ne savez plus comment accueillir la vérité ; vous la recevez avec étonnement, certains même avec colère, et vous vous demandez : « Est-ce que je me reconnais dans tout ce qui a été dit ? »
Et maintenant, que se passe-t-il ? Je ne sais pas. Cela dépend du parcours de chacun, de la conscience de chacun. Vous pensez nous tromper, mais je vous dis ceci : personne ne nous trompe. Or le plus lésé, dans tout cela, ce n’est pas nous — c’est vous, parce que vous vous trompez vous-mêmes. Vous créez une manière de suivre votre propre cheminement, parce que vous n’acceptez pas l’opinion d’autrui, n’acceptez pas les enseignements, n’acceptez pas les changements. Alors que faites-vous ? Vous créez votre propre chemin : « Ah, je fais ce qu’on m’a demandé, mais ça, ici, je ne le fais pas ».
Très bien, c’est votre choix. Où cela va vous mener, nous le verrons plus loin, parce que vous êtes habitués à cela, au fameux jeitinho (petit arrangement). « Ah, je vais le faire. Ah, mais je vais laisser un petit bout ici, sans le faire. » Très bien, merveilleux. Alors, pourquoi l’étonnement ? Pourquoi l’étonnement face au message ? Vous vous y êtes reconnus ? C’est une question que vous devez vous poser : « Me suis-je reconnu dans ce qui a été dit ? Alors je dois prêter attention aux conséquences du chemin que j’ai moi-même créé, rien de plus. »
Il est intéressant de voir combien d’entre vous critiquent, ne sont pas d’accord. C’est votre droit. Je souhaite seulement rappeler qu’ici, il y a de l’ordre.
Elle fait vraiment beaucoup de choses avec son cœur, parce qu’elle est pure de cœur, et je me dispute avec elle, parce qu’elle s’embrouille avec tout ce qu’elle invente, mais au fond, je trouve ça génial, parce que ça vient du cœur. Mais quand elle fait quelque chose que nous lui demandons, il y a des ordres, il y a des directives.
Ainsi, je souhaite vous rappeler qu’ici, ce n’est pas le désordre. Ici, il y a un Commandant, et c’est Moi. Je commande ce qui est fait, je commande comment c’est distribué, je commande comment c’est vendu, je commande quand il ne faut pas vendre mais donner.
Alors, beaucoup penseront : « Oui, l’Archange a oublié que le monde est en total déséquilibre. » Non, je n’ai pas oublié, je n’ai pas oublié. Simplement, je ne vois pas les gens comme des « pauvres petits ». Chacun a sa cheminement ; chacun récolte ce qu’il sème.
Il n’y a donc pas à rendre tous responsables des parcours de ceux qui ont choisi des chemins erronés, que ce soit dans cette vie ou dans d’autres. Que chacun suive son chemin, que chacun suive ce qu’il a semé. Comment les personnes apprendront-elles si elles ne ressentent pas dans leur chair ce qu’elles ont causé ? C’est ainsi que vous apprenez.
« Ah, mais c’est un pauvre petit. » Ah oui ? Un pauvre petit ? Pourquoi serait-ce un pauvre petit ? Savez-vous ce qu’il a fait pour vivre ce qu’il vit aujourd’hui ? Non, vous ne le savez pas. Vous jugez seulement ce que vous voyez.
Je voudrais donc laisser un petit message : tout ce qui est fait ici, au sein de ce grand groupe, est commandé par Moi. Que cela soit très clair. Ceux qui ne sont pas d’accord, je n’y peux rien; c’est l’opinion de chacun, et je respecte — par-dessus tout, je respecte.
Alors que chacun regarde son propre nombril, que chacun regarde son propre chemin, et qu’il oublie le chemin des autres. Je suis fatigué de le dire. Ne regardez pas le chemin des autres, regardez le vôtre. Mais vous continuez à regarder le chemin des autres.
Ainsi, mes frères, des choix sont faits, les avertissements sont là, les enseignements sont là ; suit qui veut, personne n’y est obligé. Je n’ai jamais forcé aucun d’entre vous à quoi que ce soit. Vous le faites parce que vous le voulez. Certains parce qu’ils y croient, d’autres parce qu’ils sont dans l’effet de mode : « Si tout le monde le fait, je le ferai aussi. » Ils ne savent même pas pourquoi, mais suivent la vague. Très bien : que chacun sache ce qu’il veut faire. Mais personne n’est obligé.
Occupez-vous donc de vos propres chemins, qui ne sont pas beaux du tout. Je l’ai déjà dit ici une fois et je vais le répéter : beaucoup d’entre vous pensent être prêts — et je dis que vous êtes très loin de l’être. Vous avez un peu confondu les choses.
Suivre la Lumière, c’est suivre sans ciller, c’est suivre sans contester, c’est accomplir tout ce que la Lumière demande. Les petits arrangements ne fonctionnent pas : ce n’est pas la Lumière. Et vous trouvez des subterfuges, les petits arrangements pour continuer à suivre votre chemin à votre manière. Ego, ego, ego. Il n’y a pas d’autre nom, c’est de l’ego pur. « Je fais ce que je veux ». Très bien ! Alors continuez à faire ce que vous voulez. Ne pleurez pas après, car beaucoup pleureront, regarderont en arrière et diront : « Oui, j’ai tout fait de travers ». Et vous avez tout fait de travers.
Ce canal existe depuis longtemps. Ceux qui me connaissent et sont ici depuis le début savent comment je suis. Quand je dois plaisanter, dire des bêtises, je plaisante et je dis des bêtises. Mais quand je dois réprimander, je réprimande, et cela ne me pose aucun problème : si une demi-douzaine tourne les talons et s’en va, pour moi il n’y a aucun problème, car cette demi-douzaine restera dans mon cœur ; rien ne changera. Ce qui change, c’est le cheminement de celui qui s’en va, non ma façon de penser ni ma façon d’aimer — elles sont une et la même. Je ne bouderai pas, ni ne détournerai le regard en croisant la personne, comme vous le faites. Mon Amour est inconditionnel.
Donc, celui qui n’est pas d’accord avec tout ce que je dis, ou qui pense quoi que ce soit d’autre et veut partir, qu’il se sente libre. Mon Amour pour vous demeurera le même. Maintenant, pour votre cheminement, vous avez fait un choix. Si vous souhaitez suivre d’autres chemins illuminés, très bien, rien ne vous retient à moi. Trouvez de nouveaux chemins, quelqu’un qui réponde à vos aspirations, quelqu’un qui corresponde à ce que vous pensez. Tout est en ordre, sans aucun problème.
Je ne suis pas préoccupé par les chiffres, je l’ai déjà dit plusieurs fois. Je veux des gens engagés, des gens disposés à suivre réellement le chemin indiqué. Non pas le chemin obligé, le chemin indiqué. Vous ne voulez pas le suivre ? Parfait, rien ne change — pour moi, rien ne change. Cela change pour vous, qui contestez, qui n’acceptez pas. Je n’y peux rien.
Encore une fois, je le rappelle : ici, il y a un Commandant, et celui qui commande tout, c’est Moi — ce qui est fait et ce qui ne l’est pas. Ceux qui ne sont pas d’accord, qu’ils se sentent à l’aise, très à l’aise. Menaces, critiques ? Je dirais ceci : rien — car cela ne m’atteint pas, et elle, encore moins. Des menaces stupides et vaines, parce que votre égo a été blessé. À elle, cela n’arrive pas, je vous le garantis. Mais prenez garde au chemin que vous êtes en train de construire.
Beaucoup essaient d’arriver jusqu’ici avec de petites parlotes, comme si nous étions une bande d’imbéciles. Il semble que vous n’ayez rien compris.
Je le répète donc : ici, il y a un Commandant. Ce n’est pas une maison ouverte où entre qui veut. Entre qui Je laisse entrer. Alors réfléchissez à deux fois avant de tenter quoi que ce soit, réfléchissez à deux fois, car ici cela n’arrivera pas, je vous le garantis. Mais vous serez en train de faire un choix.
Nous ne plaisantons pas, mes frères. Nous ne sommes pas des êtres fantaisistes.. Chacun de vous qui me considère comme son gardien sait de quoi je suis capable. Je ne fais de mal à personne, et je n’en ferai jamais, mais je protège ceux que j’aime. Mon Épée protège ceux que j’aime. Ceux qui se placent à mes côtés, ceux qui se tiennent comme mes soldats, je les protège. Comment ? Ne cherchez pas à le découvrir.
Que cela soit donc très clair pour quiconque arrive : ici, il y a un commandement, et dans mon groupe, personne ne met la main, car ici se trouve mon armée, et chaque soldat, je le connais et je le protège.
Alors, n’essayez pas d’approcher, n’essayez même pas, car vous n’y parviendrez pas. Ce qui est en train d’être fait ici continuera d’être fait — et chaque fois plus fort, chaque fois plus intense. Et je mets au défi quiconque tenterait de nous arrêter. Ici, il n’y a pas de plaisanterie, ici c’est sérieux. Alors, n’essayez même pas.
Beaucoup ne comprennent pas ce que je suis en train de dire, mais certains savent très bien de quoi je parle. Nous dérangeons, mes frères, et nous dérangeons beaucoup. Mais n’ayez aucune crainte. Aucun de vous, n’ayez peur, car quiconque est ici avec le cœur illuminé, l’esprit illuminé, fait partie de mon armée — et cette armée est sous ma protection, en permanence. N’ayez aucune peur. J’ai déjà gagné beaucoup de batailles ; celle-ci sera juste une de plus. Et cette fois, je vous ai avec moi.
Alors, placez-vous, emplissez votre poitrine d’Amour et de Lumière, et allons au combat.
Un jour, avant l’incarnation de chacun, je vous ai demandé : « Es-tu prêt à combattre à mes côtés ? » Et chacun de vous a répondu : oui.
J’ai formé mon armée. J’ai amené beaucoup d’entre vous ici, par les cheveux — vous le savez.
Alors, allons-nous combattre ? Allons-nous émaner Amour et Lumière ? Allons-nous détruire ce qui doit l’être pour que cette planète s’élève et devienne pure Lumière ?
Je vous entends tous dire « oui ». Cela est merveilleux, cela est fantastique !
Rien ne nous arrêtera, rien ne nous détruira, rien n’empêchera notre action. Alors, allons-y !
Il a déjà été dit que la partie de la Méditation sera séparée. Alors, ayez seulement de la patience pour que demain, cela ait lieu. Les personnes se reposent ; elles ne travaillent pas 24 heures sur 24, elles ne travaillent pas au rythme que vous voudriez qu’elles travaillent.
Donc, demain, la Méditation sera séparée.
Traduit par Lurdes Rodrigues Da Costa Marques
