Chers frères et sœurs de la planète Terre ! JE SUIS HILARION !
Ne vous attendez pas à ce que je vienne ici avec des formules miraculeuses ou des potions différentes qui pourraient éliminer tous les problèmes de votre chemin. La sensation est que tout empire dans votre monde. Le monde est difficile à vivre. Toutes les choses négatives font surface avec une vitesse et une force immenses. Alors je dis simplement : plus vous vibrez à l’intérieur ces convictions, plus vous en attirerez.
Imaginez la scène suivante : vous avez une maison dont le sol est extrêmement sale. Que faites-vous ? Vous prenez un balai et vous balayez la saleté. Au fur et à mesure que vous balayez, la poussière, de petites particules, montent. Mais au fil du temps, ces particules se déposent également et vous balayez, balayez, balayez, et vous parvenez à éliminer une grande partie de la saleté. Vous pouvez alors prendre un chiffon, nettoyer et la maison deviendra propre.
Transposez donc cette scène à ce qui se passe sur votre planète en ce moment. Le balayage a été fait. Tout ce qui s’est accumulé au cours des ères est suspendu pour être vu, pour être expérimenté, connu, analysé. Non, rien n’est pire, seule la poussière est montée. Ainsi, ce qui n’était pas vu l’est à présent.
Et la plus grande partie de ce qui est vu n’est pas beau, n’est pas agréable. Hélas, je dois vous avouer que c’est vous qui avez créé tout cela. Chacune de ses particules était une énergie émanant de vous. Et chacun est en train de récolter ses propres énergies. Oui, les énergies que vous avez dégagées, autres que la Lumière, se sont aussi accumulées depuis longtemps, enfouies sous vos pieds. Vous l’avez voulu. Vous ne vouliez pas voir, vous ne vouliez pas vous souvenir, vous ne vouliez pas revivre ces moments. Alors vous avez enterré, gardé et enterré ces énergies.
Et à ce moment-là, qu’a fait la Lumière ? Elle a soulevé tout ce qui était à vous. Et, comme vous, tous les autres. Les énergies sont donc dans l’air. Chacun reçoit et vibre ses propres énergies. Souvent, vous pensez que vous vivez ce que votre environnement vous apporte. Non, vous vivez ce que vous avez émané à un moment donné de votre voyage.
Si vous vivez la violence, il se trouve qu’à un moment donné, vous l’avez émanée. Elle est revenue vous hanter et vous demander pardon. Ne soyez donc pas surpris par ce qui se passe déjà autour de vous. Ne croyez pas que le monde est sans espoir. Rappelez-vous la scène. Le balayage a été fait, la poussière est dans l’air, mais il viendra un temps où toute cette poussière disparaîtra. En effet, les personnes qui examinent leurs propres énergies à partir du cœur, en tant qu’expérience d’apprentissage, éliminent la poussière de leur chemin et seront en mesure de cheminer sur des sentiers plus propres et moins pollués.
Quant à ceux qui regardent toute cette poussière, qui se plaignent, qui s’opposent, qui ne veulent rien faire, sous prétexte que c’est le monde qui vibre négativement, ils emportent avec eux leurs propres énergies. Rappelez-vous : L’ivraie est en train d’être séparée du blé. Il y aura donc des endroits où cette énergie très polluée restera concentrée. Et les personnes dont les énergies sont en train d’être épurées seront aussi rassemblées, mais dans des environnements différents.
Lorsque je parle d’environnement, je parle de vibration. Les bandes vibratoires existent et les personnes qui nettoient leurs propres énergies s’élèveront en vibration. Regardez donc tout, pas avec désespoir, ni avec peur, ou avec la certitude que le monde se dégrade. Regardez tout ce qui vous arrive. Et comprenez que tout ce qui vous arrive, que ce soit difficile, laid ou compliqué, est à vous, pas au monde, pas à quelqu’un d’autre.
Cela représente tout ce que vous avez besoin de voir, de comprendre et de gérer. Mais comme nous le disons toujours, c’est un choix. Vous décidez de le traiter. Vous choisissez de vous libérer de ces énergies, ou non.
N’oubliez pas que le processus s’accélère. Alors faites votre choix. Choisissez quel chemin suivre. Et vous attirerez exactement ce que vous choisissez.
Traduction par Marcia Trumeau
Révision par Ingrid de Rio Campo