Chers frères et sœurs de la planète Terre,

NOUS SOMMES LES ATLANTES.

Beaucoup d’entre vous, même après tant d’années de cheminement, de processus de purification, de transformations et d’évolution intérieure, continuent de se sentir coupables, de se juger sévèrement. Nombreux sont encore ceux qui, pourrait-on dire, se crucifient eux-mêmes. Inutile ici de convoquer l’histoire.

Beaucoup d’entre vous ont vécu en Atlantide, en Lémurie. D’une manière ou d’une autre, vous êtes passés par l’Atlantide et y êtes nés. Vous y avez vécu longtemps, jusqu’aux derniers instants que vous connaissez.

Devons-nous parler ici de culpabilité ?

Évoquer des décisions erronées ?

Nous avons tous commis des erreurs. Nous nous sommes tous, à un moment ou un autre, laissés entraîner. Certains, de manière superficielle ; d’autres, plus profondément, ont été happés par les énergies alors présentes sur la planète.

Mais aujourd’hui, ici et maintenant, cela sert-il encore à quelque chose de regarder en arrière pour s’autoflageller dans l’espoir de se racheter ?

Non. Cela ne sert à rien.

Regarder en arrière n’a de sens que s’il mène au pardon.

Uniquement au pardon.

Il s’agit de remplir son cœur d’amour et de demander pardon.

Pendant des années, des siècles, des millénaires, nous avons essayé de réparer ce qui avait été fait. Mais la structure même du processus rendait cela difficile : notre conscience était alors bloquée. Nous n’étions pas autorisés à apprendre, à comprendre, à évoluer. Et les erreurs se répétaient.

Alors je repose la question : est-il nécessaire de continuer à nous blâmer aujourd’hui ?

Non. Ce qui a été fait appartient déjà au passé. Il n’est plus possible de revenir en arrière, d’annuler ce qui a été fait. Ce qui est possible, en revanche, c’est de transformer l’énergie du présent, de transmuter la douleur causée — ou reçue.

Et comment y parvenir ? Je l’ai déjà dit : par le pardon.

Lorsque le pardon jaillit du cœur, du plus profond de l’âme, les énergies s’allègent, elles se dissolvent presque. Alors, notre chemin énergétique devient plus fluide, plus lumineux.

Qu’est-ce que le pardon ? C’est reconnaître pleinement ses erreurs. Et lorsqu’une telle reconnaissance a lieu, la leçon est généralement apprise.

C’est comme refermer le problème dans une boîte : il ne nous hante plus. Il peut se présenter de nouveau à nous sans nous atteindre, car il est resté derrière. La leçon a été intégrée.

C’est pourquoi le moment est venu : Le moment de pardonner et de demander pardon.

Ce n’est jamais superflu. Ce n’est jamais excessif.

Il s’agit de millénaires d’existence, de milliers d’attitudes, d’innombrables connexions, et d’erreurs accumulées.

D’où la nécessité de pardonner et de demander pardon presque quotidiennement, afin que nos âmes s’allègent et que tout cela puisse enfin être laissé derrière.

Tout ce qui nécessite encore d’être regardé sous l’angle du pardon reviendra à vous. L’univers vous le ramènera, afin que vous reconnaissiez ce point de tension, ce nœud de votre parcours qui doit encore être éclairé.

Alors, pas de jugement, pas de critique. C’étaient d’autres temps, d’autres époques, d’autres coutumes. Nous avons fait de notre mieux, avec la conscience de l’époque.

Et pourtant, oui, nous avons fait des erreurs. Beaucoup d’erreurs.

Mais le moment est venu, et Dieux Père/Mère, dans Sa sagesse infinie, nous dit :

    « Mes enfants, pardonnez et demandez pardon.

    Ainsi, tout le passé pourra être refermé une bonne fois pour toutes.

    Transformez ces énergies en Amour pur, en Lumière, en Harmonie, en Paix.

    Et chacun d’entre vous contribuera à l’ensemble de ce processus. »

C’est donc ainsi qu’il faut agir : Pardonner et demander pardon. Essayez. Vous verrez combien vos âmes s’en trouveront allégées.

Pour le Code de Lumière d’aujourd’hui, je vous laisse ces phrases :

    « Le libre arbitre n’est pas toujours synonyme du meilleur choix.

    Il y a toujours eu des décisions et des décisions, certaines bonnes, d’autres mauvaises,

    Avec leurs conséquences respectives.

    Mais Je Suis un Être Divin.

    Et ainsi, je demande pardon et je pardonne à tous ceux pour qui cela est nécessaire. »

Puis, dites ces mots :

Amoperátinum ! Amoperátinum ! Amoperátinum !

Très bientôt, chacun connaîtra son histoire. Chacun verra les étapes de son parcours.

Soyez prêts à ne pas juger. C’est précisément à ce moment-là que le pardon donné ou reçu prendra tout son sens. Car vous observerez ces scènes sans être affecté, ayant déjà dissous, grâce au pardon, l’énergie qui y était attachée.

Cela est nécessaire. N’oubliez pas.

Traduction par Ingrid de Rio Campo