Chers frères et sœurs de la planète Terre ! JE SUIS METATRON !

J’apporte ici avec moi, une fois de plus, un grand cube. Un cube dans lequel je place tous ceux dont le cœur est éclairé. Je permets à mon cube d’enlever à chacun toute énergie différente de la Lumière.

Le moment de l’ascension d’une planète n’est pas facile. Il en est de même pour l’ascension des êtres qui l’habitent. Il faut se débarrasser de tant de croyances, de tant d’habitudes, de tant de coutumes qui ont été entretenues tout au long de votre existence dans cette dimension.

Nous nous rendons compte, croyez-nous, qu’il n’est pas facile pour vous d’effacer vos esprits d’un instant à l’autre et d’oublier tous vos vices, d’oublier tout ce que cette dimension vous apporte de plaisir. Nous comprenons. Soyez-en sûrs.

Mais l’important n’est pas de vous pénaliser pour avoir changé l’habitude “a” ou “b”. 

L’important est que vous compreniez l’importance à accorder à chaque pas. 

N’accordez pas trop d’importance au fait de vous éloigner de quelque chose. Faites-le naturellement. Ne vous répétez pas : “Je dois arrêter de faire ceci, de manger cela, d’avoir envie de cela”. Non, éloignez-vous tout simplement.

Je vous donne un exemple : si vous mangez     quelque chose tous les jours, essayez de manger un jour sur deux. Ensuite, augmentez l’écart à deux jours. Mais faites-le avec légèreté, avec joie, pas avec regret, pas comme une obligation. Dans ce cas, cela ne fonctionnera pas. Vous aurez encore plus envie de manger ce que vous ne voulez pas manger.

Soyez équilibré. Vous n’avez pas à déployer autant d’efforts pour vous éloigner de tout. Il faut de la légèreté, pas de la force. Quand vous n’aimez plus une personne, que faites-vous ? Vous prenez vos distances, vous évitez d’être avec elle, vous évitez le contact. Ensuite, cela se fait naturellement avec le temps. Et vous vous souvenez à peine de la personne.

Agissez de la même manière. Regardez les choses avec un certain désir qu’elles n’existent pas. Et éloignez-vous, petit à petit, dans la douceur, dans la légèreté. Sans force, sans obligation. Si vous ressentez le besoin désespéré de recommencer, faites-le. Car vous n’arriverez à rien de cette façon, en allant contre votre propre corps.

Pensez toujours, comme s’il s’agissait d’une dépendance, à chacune des choses que vous devez changer. Le toxicomane travaille jour après jour pour rester à l’écart de sa dépendance. S’il reprend, toutes les envies reviennent. Mais, je vous dirais de ne pas le faire aussi intensément qu’un toxicomane, à moins que vous ne soyez vraiment dépendant de quelque chose.

Il faut de la volonté. Cela demande une certaine détermination. Mais je le répète : recherchez l’équilibre. Ne poussez pas votre corps à bout. Ne cherchez pas à tout arrêter d’un coup. Cela se fait progressivement. En douceur, en légèreté. Et vous verrez qu’avec le temps, vous aurez toujours envie de faire ou de manger quelque chose, mais que cela ne vous procurera plus autant de plaisir qu’auparavant.

Commencez doucement. L’important est de commencer. L’important est d’être conscient. De plus, ne jugez pas ceux qui n’y arrivent pas encore. Chacun a son propre esprit. Chacun a sa propre façon d’être et de penser, alors ne jugez pas. “Oh, je l’ai fait, pourquoi pas vous ?” Parce qu’il n’est pas vous. 

Ne jugez pas un frère qui ne parvient pas à cesser de se nourrir d’êtres vivants. Ne jugez pas.

Chaque corps s’habitue à un type de nourriture. Si le vôtre s’est détaché rapidement, tant mieux pour vous. Mais, il est probable que vous ayez encore quelque chose à éteindre. Alors pourquoi juger les autres ? Chacun a son temps. Chacun a son heure. Ne jugez pas l’autre. Chacun suit le chemin qu’il peut suivre.

Ne jugez pas les autres. Et continuez votre chemin, mais avec légèreté. Ne vous forcez pas. Car quand on exige trop, c’est mauvais pour la santé. Le corps ne l’accepte pas. C’est donc comme si vous commenciez à expliquer à votre corps : ” Eh bien, ça, je commencerai à manger moins, d’accord ? On va trouver d’autres façons de manger ? “

Parlez à votre corps. Votre corps vous répond. Mais, vous n’y parviendrez pas en lui imposant des règles, car il réagira. Passez donc un accord avec votre corps. “Écoutes, nous allons manger cela aujourd’hui, mais nous ne le mangerons pas pendant plusieurs jours”. Nous allons trouver d’autres formes de plaisir en mangeant, des formes saines, des  aliments qui ne proviennent pas d’êtres vivants.

C’est ce qu’il faut faire. Et ne vous jugez pas autant. Oui, c’est nécessaire. Et pourquoi est-ce nécessaire ? Pour que votre corps puisse se nettoyer de toutes les mauvaises énergies qui les animaux apportent. Cela a déjà été dit, et je le rappelle. Le passage de votre corps pour la Cinquième Dimension peut se faire en douceur ou dans la douleur. Il se fera en douceur pour ceux dont le corps est propre. Il sera douloureux pour ceux qui n’ont rien réussi à faire.

Et je vous le dis : ce n’est pas une souffrance facile. Car c’est comme si on vous arrachait toute cette énergie d’un seul coup. Alors faites un petit effort pour changer, progressivement, tranquillement, doucement, mais surtout, ne jugez pas les autres. Et avant tout, ne vous jugez pas vous-même.

Si vous essayez, tant mieux. Si vous n’avez même pas commencé à essayer, je vous conseille d’accélérer un peu pour ne pas souffrir plus tard. Ce cube que j’ai placé autour de chacun d’entre vous aidera votre corps à comprendre que cette énergie dont il pense avoir besoin peut être changée.

Attendez et vous le sentirez.

Traduit par Lurdes Rodrigues da Costa Marques

Révisé par Ingrid de Rio Campo