Mes bien-aimés ! JE SUIS L’ARCHANGE MICHAËL !
À présent, veuillez vous asseoir confortablement.
Fermez les yeux, rangez vos appareils.
Ceux qui lisent ce que vous écrivez ne participent pas à la méditation, il n’y a pas de problème, mais ceux qui veulent participer doivent fermer les yeux.
Maintenant, je vais vous ramener à l’endroit où nous étions la dernière fois. Ce n’est plus le champ verdoyant. Vous vous souvenez ?
Exceptionnellement, aujourd’hui, il y aura un champ vert, parce que cela fait partie de notre méditation : le vert, la vie sur la planète Terre.
Aujourd’hui, vous n’êtes pas rangés les uns derrière les autres.
Vous êtes dans un grand cercle.
Vous êtes alignés, oui, mais au-delà de ce cercle. Vous êtes donc à l’extérieur de ce grand cercle et je peux vous dire qu’il est immense, très grand.
Et vous êtes autour, dans un grand cercle, autour de l’extrémité de ce cercle.
Cela me semble clair.
Au centre de ce cercle, il y a la Terre.
Mais nous allons devoir faire quelques mouvements avant d’atteindre le point culminant de notre méditation.
À ce stade, j’invite quelques dragons, précisément quatre énormes dragons.
Ils se placent derrière vous, car ils sont extrêmement grands.
Je les invite à lancer leurs flammes sur le cercle vide qui se trouve devant vous.
Non, ce feu ne brûle pas la terre. Ce feu la transforme.
Tous ceux qui sont capables de voir remarqueront que la terre ne s’est pas transformée en cendres ; au contraire, on dirait même que la Terre est fraîche, vivante.
Et cette terre est maintenant nettoyée de toute énergie qui aurait pu (y) être imprégnée.
Elle a été nettoyée par le feu des dragons, le feu éthérique des dragons. Bravo.
Appelons maintenant en renfort les habitués de la Terre : les gnomes, les gnomines. Vous les verrez ou non. Peu importe.
Ils sont là, par milliers, à l’intérieur de cet immense cercle, devant vous. Et que font-ils ?
Ils remuent la terre. Ils brassent la terre.
Ils font respirer la terre, la rendent pelucheuse, prête à être cultivée.
Ces élémentaux de la Terre la préparent et préparent le berceau de l’avenir.
Les personnes capables de voir pourront percevoir le mouvement de la terre.
Il est même possible de voir les gnomes à l’horizon.
Pour ceux qui ne voient pas, il n’y a aucun problème. Il suffit de croire à ce que je dis. Si vous me croyez, vous croirez à mes paroles. Voilà qui est fait.
La terre est déjà bien remuée et bien ameublie.
Les élémentaux de feu ont déjà travaillé sur la terre, la purifiant grâce au feu éthéré des dragons.
Les élémentaux de la terre, les gnomes et les gnomines, ont nettoyé la terre, l’ont remuée, l’ont fait respirer.
Maintenant, une douce brise se forme. Je pourrais même dire un vent un peu fort, qui commence à se former autour de tout ce cercle.
Il apporte la vie. Il apporte les pollens, il apporte les spores, il apporte les graines, il apporte tout ce qui fait germer les choses, tout ce qui fait germer la terre, tout ce qui fait pousser vos végétaux.
Les élémentaux de l’air, les elfes, sont tous là, apportant les graines pour qu’elles pénètrent dans la terre.
A présent, la terre est bien ensemencée, avec toutes les graines. Elle n’est pas encore germée. La terre a les graines, elle est plantée.
Les élémentaux de l’eau vont donc mouiller la terre pour qu’elle englobe toutes les graines, tous les spores, tous les grains de pollen.
Ils placent chacun d’entre eux au bon endroit, chacun de ces éléments se trouvant dans la bonne position pour germer et en laissant tout prêt pour que la vie renaisse, pour que la vie puisse renaître sur Terre. Je vous demande maintenant de répéter avec moi :
“ De la terre, je suis venu, à la terre, je retournerai.
Je suis un enfant de Gaïa.
et j’ai le devoir de prendre soin de ma mère,
de prendre soin de cette planète,
parce qu’elle est la source de tout pour moi.
Elle me donne à manger.
Elle me donne à boire.
Elle me donne l’air que je respire.
Elle me donne une maison où vivre.
Mon rôle, c’était celui de m’occuper de ma mère, mais j’ai échoué.
Aujourd’hui, je suis ici, Mère Gaïa, et je te demande de me pardonner
pour tout ce que j’ai fait et pour tout ce que je n’ai pas fait pour t’aider.
En ce moment, je suis conscient de tout le mal que je t’ai causé.
Aujourd’hui et à l’avenir, je subirai certainement les conséquences de ce que j’ai fait.
Aujourd’hui, ma conscience change, ma mère.
Je vous fais une promesse :
je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aimer davantage
et pour changer d’attitude, pour modifier mes habitudes.
Je suis conscient(e) que si je ne tiens pas cette promesse, mon avenir sera très incertain.
Mais dès à présent, je te confie tout mon amour.
Que ce cercle devant moi représente toute ta surface.
Que tout l’amour qui est déposé ici t’aide à renaître de tes cendres.
Que tu continues à me nourrir
et à me permettre de vivre (dans votre intérieur) en ton sein.
Pardonne-moi, ma mère !
Pardonne-moi, ma mère !
Pardonne-moi, ma mère !”
Si vous observez le cercle maintenant, celui qui peut voir, bien sûr, vous verrez que beaucoup de chose a poussé, des petites fleurs. Des petits fruits, des petits arbres. Tout est en train de germer.
Il en sera de même sur toute la planète, car la Lumière a vaincu.
Ils ne prendront pas votre nourriture. Ils ne gagneront pas.
Rappelez-vous toujours que vous êtes plus forts que tout et que vous avez le pouvoir de changer.
Vous avez le pouvoir entre vos mains.
Laissez chacun jouer son rôle.
N’attendez pas l’autre. Vous n’avez pas besoin de rejoindre l’autre.
Que chacun fasse sa part, par de petites actions, par de petits gestes.
Dans la conscience qui se crée et s’accroît chaque jour.
Montrez la conscience que vous avez aujourd’hui.
Traduction par Marcia Trumeau
Révision par Ingrid de Rio Campo